mercredi 30 septembre 2015

P.K. SUBBAN GONFLÉ DE VANITÉ ET DE STÉROÏDES ?


«On se trompera rarement si l'on ramène les actions extrêmes à la vanité, les médiocres à l'habitude et les mesquines à la peur.»
Friedrich Nietzche

Le contraire aurait été plus qu'étonnant...  Encore une fois, l'été dernier, malgré les vacances, malgré la saison morte du hockey (morte sauf à Moronréal, le bidonville des cinglés et de ceux qui n'ont pas de vie) nous n'avons pas eu droit à un congé du roi des fanfarons : P.K. "Narcisse" Subban.  Avec la complicité idiote des médias et des réseaux sociaux omniprésents, nous avons pu suivre en direct les multiples péripéties des niaiseries du vaniteux défenseur noir du Cacanadien de Mourial (la métropole de la bêtise, des péteux de broue Molson, et de l'insignifiance).

Durant la saison estivale, nous avons d'abord appris que le prince des poseurs, le no 76 du torCHon, a encore prouvé son immense imbécillité en jetant son dévolu sur le pire entraîneur qu'il pouvait choisir pour garder la forme : la honte du Canada en personne, et j'ai nommé Ben Johnson.  D'un autre côté, il n'y a rien de surprenant là-dedans.  Qui se ressemblent s'assemblent.  Les deux grands copains noirauds aiment bien se pavaner et exhiber leur corps musclé, gonflé aux stéroïdes.  Il y a fort à parier que les deux compères passent plusieurs heures par jour à s'admirer dans des dizaines de miroirs et à embrasser leur propre reflet dans la glace des vitrines.  Pour un, Subban ne fait ainsi qu'être fidèle à son flamboyant comportement de fendant, de couillon, et de prétentieux sur les patinoires de la LNH.  Il sait si bien déployer ses remarquables talents de patineur rapide et de feinteur quand vient le temps de jouer la comédie (plongeons volontaires), de fuir, ou de se cacher derrière les arbitres, lorsque les adversaires, qu'il a insulté avec sa grande gueule sale ou qu'il a cherché à blesser intentionnellement, tentent de le rejoindre pour lui régler son compte...


Puis, profitant du fait que les Nord-Américains possèdent des écrans de télé de plus en plus grands, l'outrecuidant Pédé Subban a été faire le pitre sur un réseau de sports cet été.  Il n'a même pas eu à se déguiser pour faire son imitation du célèbre Don Cherry (photo sous le titre).  Toujours soucieux de se faire remarquer, et de faire son "smat", il a l'habitude de s'habiller de manière aussi ostentatoire que le vieux bonhomme déphasé qui déverse son trop plein de sottises depuis des siècles à Hockey Night In Canada.  Il faut être imbu de soi-même pas à peu près pour se vanter comme Subban l'a fait en faisant dire à son personnage imité : «il -(P.K. Subban)- n'est pas Bobby Orr mais il est sacrement bon !»  Du P.K. tout craché !  Et présomptueux à souhait !  Oui Narcisse n'a qu'à aller se rhabiller !  Il ne va pas à la cheville de P.K. dans son insolence !


Il va sans dire que je rapporte ici seulement quelques-unes des bêtises que nous a fait subir Subban l'été passé.  Le tout a culminé lorsqu'il a joué au mécène en faisant semblant de donner généreusement dix millions de dollars à un hôpital pour enfants de MortYial.  En se prosternant devant un aussi grand homme au coeur vaste comme le Centre PouBell, les admirateurs de Piqué (d'orgueil) oublient que ce don n'était pas désintéressé.  Sinon il l'aurait fait de façon anonyme.  Ce qui aurait été à l'opposé extrême de sa personnalité basée sur l'amour-propre et son intense soif de gloriole.  D'ailleurs, il a exigé que l'atrium de l'hôpital soir baptisé à son nom.  On voit bien qu'il ne s'étouffe pas dans la modestie...  La vanité n'est pas la soeur de la charité et de la bonté.  P.K. recherche, de manière absolue, la lumière scintillante des projecteurs et la splendeur des feux de la rampe.  Pour son image personnelle.  Vanité des vanités, tout n'est que vanité dans son cas...

La réalité c'est que, par ce coup d'éclat, Subban se trouve à sauver énormément d'impôt, car c'est un don de charité déductible de son gigantesque salaire.  D'ailleurs, je me pose beaucoup de questions concernant la disproportion de ce fabuleux contrat de 72 millions de dollars par rapport aux ententes signées par d'autres défenseurs de la LNH qui sont aussi bons sinon bien meilleurs que le 76 de la CHnoutte.  De nos jours, pour le même nombre d'années de contrat, un as de la ligne bleue -qui joue pourtant mieux que Subban en zone défensive- peut encaisser environ 55 millions de dollars.  Rappelons que les négociations entre Subban et ses patrons ont été très ardues.  On s'est même rendu en arbitrage.  Qui dit que les dirigeants du Caca n'ont pas consenti ce faramineux contrat à P.K. en y ajoutant une clause secrète prévoyant un montant de dix millions de dollars à être versé à une oeuvre de charité ?  Dans le domaine de l'hypocrisie on sait que le CHicolore est passé maître...


De plus, en se montrant aussi magnanime envers les enfants malades, Piqué des vers Subban a peut-être cru qu'il achetait le poste de Capitaine du CHiendent.  C'était sans compter la haine et le mépris que lui vouent ses coéquipiers appelés à voter pour le choix de celui qui porterait le "C" afin de bien les représenter.  On ne compte plus les fois ou les incidents au cours desquels le gros plein de merde no 76 a eu maille à partir avec ses coéquipiers parce qu'il les avait frappés sournoisement lors des pratiques, ou parce qu'il les avait fait mal paraître en les blâmant pour des défaites auxquelles il avait pourtant plus contribué que tout autre, par son jeu habituellement affreux dans son territoire.  Tous des arguments justifiant amplement le fait que les joueurs des CHaudrons aient plutôt élu Pacioretty comme Capitaine.  Subban ne doit pas avoir eu de votes, à part le sien, bien entendu...

Parce qu'il est celui qui ressemble le plus à son défunt mari, Pacioretty était également le choix de la veuve de Jean Béliveau (photo ci-dessus).  Celle-ci sait mieux que personne que son époux était "Monsieur Classe" par excellence.  En dépit de son statut de super vedette il était un homme simple et humble.  Il prêchait pas l'exemple.  C'est le mot "classe" qui venait toujours en premier dans la bouche de tous ceux qui émettaient une opinion sur le Gros Bill.  Par sa personnalité narcissique et ses agissements de bouffon sur, et en dehors de la patinoire, Subban est le contraire exact du grand Jean Béliveau.  Non seulement il ne mérite pas d'être capitaine du Cacad'CHien mais partout ailleurs dans la LNH il serait réprimandé, mis à l'amende ou suspendu pour les nombreux écarts de conduite pour lequel il est pourtant applaudi et adulé à Morons Ville.  Parlez-en à Lou Lamoriello, le nouveau directeur général des Leafs de Toronto, qui veut redresser son club en insistant pour que ses joueurs respecte d'abord le public en ayant un comportement exemplaire sur, et en dehors de l'aréna.  Les porte-couleurs des Maple Leafs doivent aussi s'habiller sobrement et de façon classique quand ils sont dans le public et qu'ils n'exercent pas leur métier.

S'il était sous la gouverne de Lamoriello, Subban serait rappelé a l'ordre, ou écarté de l'équipe, en raison de ses excentricités bouffonnes et de ses perpétuelles conneries.  Car comme l'écrivait le célèbre psychologue Nietzche, les comportements et les actions extrêmes des Narcisse du genre de Subban dénotent une vanité véhémente, contraire à tout bon esprit d'équipe, et à tout acte véritable de générosité et de compassion...  Contrairement à ce qu'il essaie de faire croire au monde, Subban ne cherche qu'à s'élever en faisant semblant de se pencher sur les petits et les nécessiteux...  C'est dans sa nature profonde et méprisable... 

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