jeudi 28 août 2014

DES JOURNALISTES QUI RESPIRENT LES PETS DES CACANADIENS ET TROUVENT QUE ÇA SENT BON...


Je suis peut-être trop naïf ou idéaliste, mais je croyais qu'il y aurait au moins UN journaliste québécois qui se lèverait pour dénoncer ou ridiculiser l'intrusion du président du Cacanadien de MortYial, Geoff Molson, dans le récent dossier du honteux renouvellement de contrat (valeur de 72 millions de $) du gros plein de soupe P.K. Subban.  L'ex-joueur étoile de la LNH, Alex Kovalev, nouvellement retraité, et que l'on ne peut pas considérer comme un anti-habs ou un gars qui ne connaît pas le hockey, a déclaré, il y a quelques jours, que le 76 des CHaudrons c'est un cas de 50-50.  C'est-à-dire que, ce que le "flasheux" défenseur apporte de bien à l'attaque, il le défait en étant une hypothèque en défensive.  Il est responsable d'autant de buts -sinon plus- dans son filet que de buts dans la cage des adversaires.  C'est ce que je dis depuis le début de la carrière de P.K. le gaffeur.

Le gérant général du torCHon, Marc "Symphorien" Bergevin était du même avis lorsqu'il a offert un contrat valant 35% de moins que celui qu'a fait signer Molson au défenseur noir grossièrement sur-évalué.  Bergevin tenait tellement son bout dans la négociation, il était si convaincu de son bon jugement, qu'il a porté l'affaire en arbitrage jusqu'à ce que son patron vienne lui couper l'herbe sous le pied et le fasse mal paraître devant tout le monde...sauf les journalistes québécois qui ont passé sous silence cette histoire saugrenue.  Ce sera le même silence complice des scribes qui accompagnera la hausse du prix des billets payés par les fefans pour défrayer les coûts supplémentaires du contrat faramineux consenti par Molson au gros bouffon Subban.  La prochaine fois que vous verrez les reporters avec P.K. "le motté", observez-les rire de ses pitreries et de ses conneries (comme sur la photo ci-dessus).  Alors que leur devoir de réserve devrait pourtant leur dicter une attitude plus neutre.  Ma foi, Subban leur dirait : «kiss my ass» et ils s'exécuteraient tous à tour de rôle en jouissant comme des porcs !  Navrant...  



C'est toujours comme ça que ça se passe à Moronréal.  Les seuls membres des médias qui font leur job comme il faut, sont quelques chroniqueurs anglophones de la métropauvre.  Dans les points de presse des gens de la CHiasse, eux seuls osent poser des questions un peu plus pointues aux dirigeants CHicolores.  Les franco, eux, font bien attention de ne pas se mettre à dos les patrons du Caca, par crainte de perdre leurs privilèges et leurs consommations gratuites au Centre PouBell.  On se rappellera du cas du chroniqueur Réjean Tremblay, à qui on avait interdit de voyager avec l'équipe parce qu'il la critiquait trop...  Il a servi d'exemple et d'épouvantail pour ses collègues...  Ils sont bien dociles depuis ce temps-là et ils se contentent de faire les chiens couchés.

Je me rappelle aussi d'une déclaration du défenseur Andrei "Too Soft" Markov, il y a quelques années, quand la CHnoutte traversait des jours difficiles.  Le défenseur du torCHon, qui parle très rarement aux journalistes, reprochait aux joueurnalissssssses de ne pas être assez fins ou lèche-culs avec les CHieux.  Les petits scribouilleurs québécois étaient pourtant fort modérés, voire presque complètement au neutre, devant la déconfiture et la pourriture du bleu, blanc, merde.  À peine osaient-ils critiquer les performances des joueurs et les décisions des décideurs de la CHiure.  Markov avait balbutié : «vous (journalistes) devriez supporter l'équipe puisque nous avons des difficultés en ce moment». C'était quand même GROS ! Il exigeait que les membres de la presse soient des fefans et des cheerleaders ! Qu'ils disent seulement du bien des CanaCHiens ! Qu'ils gardent secret les scandales et les passes croches des porteurs de la Guenille ! Ayoye ! Markov semblait avoir une conception du rôle des médias qui s'inspirait directement de la presse-esclave de l'ancienne URSS !



J'ai toujours pensé que les médias représentaient le 4e pouvoir, chargé de garder un oeil critique sur les pouvoirs politique, économique et judiciaire. Qu'ils devaient vérifier les assertions des autorités, nous renseigner au sujet des pièges de la propagande, nous donner notre droit à une information sans parti pris, de nous révéler la VÉRITÉ.  Mais, pour une raison pas très claire, les journalistes sportifs du Québec sont vendus au club qu'ils suivent, et semblent vivre dans une salle de presse à part de celle de leurs collègues journalistes.  D'ailleurs, ces derniers, il y a quelques mois, à Radio-Canada, contestaient le statut des gars -et des quelques filles- au sport, dans le cadre syndical du processus de "bumpage" suivant les coupures de postes à la société d'état.  Les "vrais" journalistes refusaient de se faire "bumper" par les gens du sport en alléguant que ce n'étaient pas des journalistes.

Dans un pays où le hockey est une religion et où il suscite tellement l'attention du public, c'est encore plus dommage que les médias ne fassent pas leur travail critique.  En général, les gens veulent TOUT savoir. Pas seulement ce que la propagande CHarognarde veut leur imposer comme information. Les médias ne devraient pas se complaire ou se contenter de recopier ou de répéter les communiqués de presse émis par l'organisation canaillienne.  Les Québécois ne sont pas tous des avaleurs de couleuvres CHicolores.  Nous ne vivons pas en dictature dans le Goulag des CHaudrons.  Comme disait naguère Voltaire : «il ne faut pas croire, il faut savoir».


Oh ! Les fefans eux, sont 100% d'accord avec Markov. Les journaleux doivent se prosterner devant leurs héros et respirez leurs "pets" en leur disant que ça sent bon ! À un moment donné, il y a quelques années, Scary Price aurait même traité de "Ass holes" les représentants des médias.  Et ceux-ci devraient prendre ce genre d'insulte pour un compliment ?  "Come on" les gars, ne vous laissez pas mépriser par ces vedettes qui vous chient sur la tête. Réagissez !  Mais ils ne le feront pas.  Trop critiquer le Caca choquerait la foule innombrable des fefans bipolaires qui préféreraient regarder un autre poste de télé ou acheter un autre journal, plus complaisant envers leurs chouchous.  Autrement dit, ce sont les fous qui gèrent l'asile... 


L'ex-célèbre animateur de radio et ex-député André Arthur disait un jour, que quand il est entré en politique, un vieux sage du milieu lui avait confié que les politiciens pouvaient manipuler les électeurs à leur guise. Ils pouvaient même faire manger de la merde à tout le monde, à condition que ce soit en petites portions, bien présentées, bien apprêtées et savamment étalées dans le temps. C'est pas mal ça que les CHieux font avec les journalistes et les fefans depuis plus de vingt ans. Ça doit être ça aussi qu'ils se disent entre eux au sujet de ceux qui osent les critiquer : «qu'i mangent d'la marde». Après tout, c'est le message que PET (Pierre-Elliott Trudeau, qu'une majorité de citoyens canadiens interrogés dans plusieurs sondages d'opinion publique ont nommé comme l'un des plus grands hommes dans l'Histoire du Canada) criait également aux manifestants ou aux grévistes qui osaient parfois le chahuter. L'exemple vient de haut même si c'est un comportement plus que douteux.  Comme les frappés qui appellent encore les CanaCHiens "les Glorieux".  Ha !  Ha ! Ha !  Ha ! Ha !

mardi 1 juillet 2014

AUTOPSIE DU CADAVRE DU CANADIEN DE MONTRÉAL...


Après avoir fêté l'élimination du torCHon, il est temps de disséquer son cadavre, même s'il sent mauvais. En jouant du scalpel dans les organes et les tissus avariés des CHieux, on découvre des choses parfois étonnantes, parfois entendues... Je retrouve mes esprits après avoir pas mal célébré la fin pitoyable de la CHarogne !  J'en ai pas mal long à écrire, y compris sur le délire des fefans, qui croient maintenant dur comme fer, que leur p'tit club de poids plume est très équilibré et qu'il fait maintenant partie de l'élite de la Ligue Nationale !  On parle même de Coupe Stanley et du retour des Glorieux !  Ouf ! J'en ai encore le souffle coupé. Je n'en reviens tout simplement pas !

RAPPORT D'AUTOPSIE



Le corps mort de la victime a été trouvé dans les vidanges du Madison Square Garden de New York.  Les enquêteurs ont tout de suite noté qu'il sentait très mauvais et était déjà en décomposition. De la matière fécale maculait le derrière du CHieu, et on a aussi découvert que de l'urine salissait le devant et le dessous de la culotte qu'il portait. On établira plus tard, que ces déjections ont été causées par une peur bleu, d'une grande intensité, qui a provoqué un état de panique et une crise cardiaque fatale. Le trucidé avait la langue sortie et il se l'était mordue.  Tous des symptômes reliés à la maladie communément appelée "Habs CHicken".

Curieusement, on a aussi remarqué que le coeur de cet individu trépassé était disproportionnellement petit et n'avait pas de bon sang. Il était anémique (impuissant) et ne devait pas battre régulièrement (un peu plus de mauvais battements que de bons). Il portait au cou un scapulaire de forme octogonale sur lequel étaient gravées les lettres P-R-I-C-E. La dépouille était également vêtue et "strapée" de guenilles de couleurs bleu, blanc, et rouge. Sur la peau et dans la chair du décédé, se trouvaient de singulières blessures et des meurtrissures de couleur bleutée, alignées en rangées, un peu comme les lettres sur le chandail des Rangers de New York. Incrustées dans la surface cutanée, elles rappelaient celles du bétail marqué au fer rouge.

Le corps inanimé et recroquevillé semblait avoir été blanchi à l'eau de javel sur trois grandes surfaces cutanées. C'est à ces trois endroits que la pourriture était la plus apparente. On a simplement conclu que l'individu avait été pas mal merdeux, mais qu'il avait fini par succomber à sa médiocrité et à ses faiblesses. Un témoin de la mise à mort de l'individu a déclaré qu'il a vu un grand colosse, vêtu de vêtements de couleur bleu et blanc, frapper d'aplomb et à plusieurs reprises la victime, qui lui faisait des grimaces.  Curieusement, quelques jours plus tôt, ce témoin oculaire, Symphorien Bergevin, avait été aperçu en train de danser et de capoter dans une loge du TD Garden de Boston. 


De jeunes excités habillés eux aussi de costumes bleu, blanc, rouge, observaient la scène et semblaient menaçants.  L'un d'eux, a été reconnu comme étant celui qui avait enculé la statue de Bobby Orr, à Boston, il y a une couple de semaines.  Alertés par leur comportement étrange, les policiers de New York ont procédé à leur arrestation et ont décidé de leur faire passer des tests psychiatriques.

Le corps a été transporté à la morgue de Mourial, P.Q.. Les autorités américaines ont déclaré ne pas se soucier de ce que les Canadiens feraient des restes mortels. Les responsables américains estiment que malgré le peu de temps qu'ils ont eu le cadavre sur les bras, ils étaient pressés de s'en débarrasser et de passer à quelque chose de bien plus important...

vendredi 9 mai 2014

UN 3e CHANDAIL TRÈS REPRÉSENTATIF DU CANADIEN DE MONTRÉAL...


Selon des sondages d'opinion publique réalisés régulièrement, c'est le plus beau.  On le qualifie également de "prestigieux", "légendaire" et "glorieux".  Beaucoup de gens lui accolent même l'étiquette de "sainte flanelle".  Une multitude d'individus capotent littéralement sur lui.  Quand ils le revêtent, ils perdent souvent la raison et se comportent comme des malades mentaux ou des bêtes stupides.  On parle ici de l'uniforme, et plus précisément, du chandail du Canadien de Montréal.  Un uniforme c'est un peu comme le drapeau d'un pays.  C'est un symbole d'appartenance à un groupe.  C'est un symbole identitaire, un emblème, un signe de ralliement, une manifestation, une forme de langage qui dit qui on est et comment on veut être reconnu.  Le logo sur le chandail sert à distinguer les membres du groupe qui le portent.  On l'associe à des valeurs, à des croyances, à un engagement, à une mentalité, à une image de marque.


Dans cette optique, les partisans des Bruins de Boston, qui connaissent très bien le Canadien, puisque leur club entretient une grande rivalité avec lui depuis 90 ans, ont créé un nouveau maillot pour les fans du CHicolore.  Il s'agit en fait d'un t-shirt orné du logo modifié du CH.  Les célèbres lettres "C" et "H" y apparaissent, comme sur l'uniforme officiel des CHaudrons, mais elles sont réunies à d'autres lettres pour former le mot "CHickens", que l'on peut traduire en français par "poules mouillées" ou par le mot "lâches".  Cette oeuvre d'art est offerte en plusieurs couleurs différentes.  J'aime particulièrement les exemplaires jaune (synonyme de peureux) et rose (synonyme de moumounes et de tatas).  C'est une création de l'artiste "Erika and Monty" et il est en vente via l'internet.  Erika en a eu l'idée après un match entre les Bruins et le Caca au mois de mars dernier.  Au cours de cette partie, Alexei Emelin, le joueur de défense du torCHon, s'est penché pour aller faucher Milan Lucic, des Bruins.  Celui-ci a virevolté dans les airs avant de s'écraser sur la patinoire.  Un coup aussi dangereux que salaud, porté à la hauteur des genoux.  Un geste sournois et déloyal, qui est condamnable, et qui va à l'encontre du code d'honneur que devraient respecter tous les joueurs du circuit Bettman.  Quand Lucic s'est relevé pour aller ensuite demander des comptes à Emelin et l'inviter à se battre comme un homme, le CHieux des Canailliens a décliné son invitation et s'est sauvé.  


Après la joute, le robuste ailier des Bruins était encore en colère en parlant de l'incident avec les journalistes.  Accusant Emelin d'avoir voulu le blesser intentionnellement, il l'a traité de "chicken".  Et le chandail portant cet épithète est né.  Le problème, c'est que je ne connais pas beaucoup de monde qui voudrait le porter.  Les partisans des Bruins pourraient s'en servir comme "pancarte" ou comme serviette pour se moquer du Cacanadien.  Bien sûr, on pourrait toujours rêver que les joueurs du torCHon le revêtent.  Il est tellement représentatif de ce qu'ils sont.  Et comme le disait si bien le grand Napoléon Bonaparte : «On devient l'homme de son uniforme».  Comme chicken parfait, outre Emelin, on peut penser aussi à ses coéquipiers défenseurs P.K. Subban et Andrei Markov.  Subban est le joueur le plus détesté dans la Ligue Nationale parce que c'est justement le pire CHieux que vous pouvez trouver sur une patinoire.  Il fait des coups de cochons pour aller ensuite se cacher derrière les officiels quand ses victimes cherchent à lui faire payer ses "crimes".  Ce n'est pas pour rien que ses nombreux ennemis le surnomment "diver" et "turtle".  Et ça, ce sont les surnoms les moins pires.  Les autres ne sont pas aussi "gentils" et ne peuvent être énumérés ici.  Quant à Markov, c'est un vrai mollusque que j'ai baptisé du nom de Mister Softee.  Il a peur de son ombre et ne ferait pas de mal à une des millions de punaises de lit qui règnent sur le bidonville de Moronréal.


Parmi les autres mauviettes du CanaCHien, mentionnons la fillette Plekanec, le petit capitaine CrouCH, Brian Gionta, le poltron Max "call 911" Pacioretty et le jaune Lars Eller.  Il y en a bien d'autres, comme l'inoffensif Thomas "je ne fais que passer" Vanek, le nain à Desharnais, la mémère à Brière, et le frileux Galchenyuk.  Tout ce beau monde disparaît et veut rentrer sous terre quand le jeu se corse et devient robuste...  Durant la saison régulière 2013-14, le Cacad'CHien a fini au 2e rang dans la NHL pour le nombre de punitions de "conduite anti-sportive".  Cette catégorie de pénalité inclut les infractions pour plongeons volontaires.  À ce chapitre, Brandon Prust et P.K. Subban se sont particulièrement distingués.  Une autre façon d'afficher sa lâcheté, c'est de s'en prendre aux gardiens de buts opposés, qui sont souvent sans défense devant leur cage.  Les CHaudrons ont été les champions dans ce département avec douze interférences contre les portiers des autres équipes.  Brendan Gallagher a pris le premier rang dans la ligue avec huit fautes de ce genre.  La deuxième position appartient à son coéquipier Daniel Brière avec trois.  Ce sont aussi les CHicolores qui ont fait le plus souvent trébucher les joueurs adverses (65 fois).  Et ce, malgré la grande clémence des arbitres à leur égard.

Oui, les joueurs du Caca devraient porter ce 3e chandail de CHickens imaginé par une fan des Bruins.  Ils pourraient alors dire comme le regretté humoriste français Coluche : «Oui !  Je sais, j'ai l'air un peu con !  Mais l'uniforme y est pour beaucoup hein !» (Le Flic, 1975).     

jeudi 24 avril 2014

UN IGNOBLE FEFAN VOLE LE BÂTON QUE PACIORETTY DONNAIT À UN ENFANT !

http://img.bleacherreport.net/img/images/photos/002/861/952/9a5eed15ee047125d0e809c4e2d30b41_crop_north.png?w=550&h=367&q=75 

On ne voit ce genre d'infâmie qu'à Moronréal ou aux endroits que les crétins de fefans du Cacanadien de Mourial souillent de leur présence.  Mardi soir, au Centre PouBell après la partie au cours de laquelle les CHieux ont éliminé le Lightning de Tampa Bay, Max Pacioretty, auteur du but vainqueur de son équipe, quittait en héros la patinoire, sous les acclamations de la foule.  Pointant un jeune garçon au-dessus de lui, il a tenté de lui remettre son bâton afin de lui donner un précieux souvenir.  C'est alors qu'on ignoble moron s'est interposé pour arracher le hockey des mains de l'enfant.  Heureusement, face aux véhémentes protestations de la foule, et de Pacioretty lui-même, l'ignoble fefan, tout honteux, a été obligé de redonner le bâton au kid.  Le fâcheux incident a été relaté non seulement sur les réseaux de télé d'Amérique, mais également dans le prestigieux SPORTS ILLUSTRATED.  Ça nous fait une belle jambe à nous les Québécois, qui passons tous pour des colons et des gens qui ne savent pas vivre...


Ça me rappelle un autre incident du genre, que j'avais décrit ici il y a quelques années.  Si je me souviens bien, ça se passait aussi en séries éliminatoires mais cette fois-là c'était dans un amphithéâtre étranger.  Un enfant qui, visiblement, était plus intéressé à s'amuser qu'à vraiment suivre le match, s'était trompé en applaudissant et en fêtant un but du CHicolore alors qu'il était plutôt un partisan du club adverse (l'équipe locale qui accueillait le torCHon).  Un gros dégueulasse de fefan, portant le torCHon bleu blanc merde, et qui était juste derrière le petit gars, lui avait lancé un cri de mort par la tête pour lui signaler sa méprise.  Terrorisé, l'enfant avait failli tomber des estrades tellement il avait eu peur.  La scène avait été filmé par une des caméras de télévision qui retransmettaient les images de la rencontre.


C'est qu'en plus d'être des caves ignobles et cinglés, les fefans du Caca n'ont pas assez de jugeote pour se rendre compte que, dans les arénas des villes où se produisent des équipes de la NHL, il y a des caméras partout, et qu'ils risquent ainsi de montrer à des centaines de milliers de spectateurs et de téléspectateurs qu'ils sont des goujats de la pire espèce.  Y a-t-il des gestes plus lâches et condamnables que de s'en prendre à un enfant innocent ?  Non, sans aucun doute !  Pourtant des fêlés du CHaudron, aveuglés par leur folie du CHiendent, adoptent naturellement des comportements aussi vils lors des matchs de leurs idoles.  Et même à l'extérieur du Centre PouBell, lors des séries de la Coupe Stanley, les autorités municipales de la métropauvre doivent ordonner à leur police de surveiller ces idiots pour ne pas qu'ils saccagent et vandalisent leur ville de merde.  Pas de quoi être fiers d'être Québécois, dans ce temps-là...      

jeudi 27 février 2014

LA MAUVAISE RÉPUTATION DE P.K. SUBBAN L'AVAIT PRÉCÉDÉ À SOTCHI...

Jusqu'au milieu du siècle dernier, la plus grande partie du territoire habité du Québec était encore rurale.  Une multitude de villages composaient une société unie par la religion catholique.  Ne pas aller à la messe du dimanche constituait alors un péché mortel.  Alors tout le monde se rendait à l'église paroissiale pour faire ses dévotions.  Après la célébration, le perron du temple religieux devenait l'agora où se réunissaient les villageois pour s'échanger les dernières nouvelles et les plus récents cancans.  Les discussions s'échauffaient parfois lorsqu'on parlait de politique ou de chicanes de clôture...  Mais en revenant à la maison après la conclusion de ces palabres, chaque habitant pouvait réfléchir après avoir confronté différents points de vue sur tel ou tel sujet.  Souvent, après avoir eu d'abord une opinion bien tranchée sur une affaire, les échanges avec les autres paroissiens avaient apporté des nuances à ce que l'on croyait être LA vérité.

Aujourd'hui, dans le village global qu'est devenu le monde, les choses ont-elles tellement changées ?  Non, pas tant que ça...  Les perrons d'église ont été remplacés par les réseaux sociaux pour faire du commérage et brasser des idées.  L'important c'est de communiquer, même si certaines personnes abusent des moyens technologiques mis à notre disposition dans nos sociétés modernes.  La "place publique" (la toile ou internet), pour débattre des idées et s'échanger des nouvelles, s'est considérablement agrandie, quand on la compare à nos perrons d'église d'autrefois.  La diversité des points de vue est elle aussi beaucoup plus grande, puisqu'elle englobe souvent plusieurs pays, cultures ou sociétés.  Trouver la vérité dans tout ce qui s'écrit ou se dit dans les forums de discussion sur le WEB (ou sur FACEBOOK ou TWITTER) n'est pas plus facile que ce l'était avant dans les placotages de perrons d'église.  Mais c'est toujours bon, et même primordial, pour se forger sa propre opinion, de s'exposer aux différents éclairages qui peuvent nous parvenir d'un peu partout sur les réseaux sociaux.  Se limer la cervelle sur celles d'autrui, comme le disait ce charmant humaniste qu'était Montaigne.  Vive la pluralité !  Ça fait partie de la démocratie et de la liberté d'expression...

Ainsi, l'autre jour, au début des Jeux Olympiques en Russie, un internaute, probablement un fefan francophone du Cacanadien de Montréal, expliquait, en commentant un article paru sur un blogue, que P.K. Subban, défenseur du CHicolore et membre de l'équipe de hockey olympique canadienne, était le seul joueur à ne pas partager sa chambre d'hôtel à Sotchi parce qu'il...ronflait trop la nuit.  En réponse à cet argument, un autre commentateur, anglophone celui-là, prétendait plutôt que si P.K. avait été isolé comme un pestiféré dans sa chambre, c'est parce qu'aucun de ses coéquipiers ne pouvait le sentir.  Rien d'étonnant là-dedans, simplement, sa réputation de joueur le plus détesté de la Ligue Nationale avait précédé Subban à Sotchi.  Remarquez, c'est peut-être vrai que le no 76 des CHaudrons ronfle comme un soufflet de forge ou qu'il pue comme un bouc.  D'autres commentateurs ont également avancé qu'il fait jouer de la musique à tue tête sans se soucier si ça peut incommoder les autres autour de lui.  Mais la raison principale pourquoi P.K. est un "rejet", c'est qu'il n'est pas du monde !  Sa personnalité le rend insupportable même pour un Saint capable d'endurer le martyr !

Il y a fort à parier que les dirigeants de TEAM CANADA, qui ont choisi Subban à reculons, à cause de la pression des médias et des fefans, étaient bien déterminés à faire en sorte qu'aucun des joueurs de l'équipe ne soit diminué, "contaminé", épuisé et rendu inefficace sur la patinoire parce qu'il aurait été rendu fou en devant partager la chambre du gros noiraud à la face de boudins et à l'ego aussi grand que le Kremlin et la Place Rouge.  À chaque fois qu'il se met les doigts dans le nez, un raz de marée est à craindre...  Ce gros épouvantail à oiseaux est inégalable dans l'art de casser les oreilles de tout le monde avec ses cris de primates et en essayant de faire de l'esprit avec ses farces plates.  Avec ses raisonnements de femme soûle qui se prend pour le nombril du monde et qui ne se mouche pas du coude, il a le don incomparable de côtoyer sans cesse le ridicule et d'exaspérer le plus indulgent et le plus patient des humains.  Ce grand bavard inépuisable aime tellement se donner en spectacle et cultiver la bêtise sous toutes ses formes. Il fait toujours chier son malheureux entourage.  Le célèbre écrivain Proust semble avoir écrit spécialement pour lui : «la prétention avoisine la bêtise».  L'état-major de l'équipe canadienne prenait déjà un grand risque en permettant au facétieux Subban de prendre part aux sessions d'entraînement.  Le fanfaron défenseur n'a pas son pareil pour miner et ruiner un esprit d'équipe.  D'ailleurs, chez le torCHon, il a plusieurs fois eu maille à partir avec des coéquipiers durant des pratiques.


Au strict plan du hockey, je suis certain que les entraîneurs de TEAM CANADA avaient déjà décidé, avant le tournoi olympique, que P.K. Subban ne serait qu'un insignifiant figurant dans l'équipe.  Dans le style défensif très serré qui a permis à nos représentants de gagner la médaille d'or, il n'y avait pas de place pour un individu égoïste au jeu échevelé, habitué à commettre des bévues dans son territoire et à prendre des risques dangereux à l'attaque.  On l'a vu, en particulier dans la demi-finale gagnée 1-0 contre les Américains, la moindre erreur en défensive aurait pu coûter le match et une médaille au Canada.  On jouait à une vitesse folle et à une haute intensité.  On patinait sur un fil...  Vraiment pas de chance à prendre avec un écervelé indiscipliné et individualiste comme Subban.

Cela n'a pas empêché la pie à P.K. de ramasser par terre sa médaille d'or.  Une récompense qu'il ne méritait pas le moins du monde.  Connaissant le moineau, laid comme un singe, avec ses grosses babines de gomme balloune, il ne fallait pas s'attendre à ce qu'il accepte sa médaille avec humilité, en s'excusant presque.  Fallait le voir jubiler avec ses coéquipiers et plastronner pour la galerie en faisant le con avec ses démonstrations ostentatoires...comme d'habitude.  Fier comme Artaban, il crânait et avait la tête en l'air comme s'il avait marqué tous les buts de son équipe pour la faire triompher.  Torse bombé, on l'a observé en train de se pavaner et de se rengorger comme un dindon de la pire espèce.  S'il avait pu le faire, il se serait encore plus tiré du grand en se juchant sur des échasses pour recevoir sa médaille.  Il s'enorgueillit de cette breloque dorée comme il l'avait fait avec son demi-trophée Norris de l'an passé.  Dans quelques années, devait-il songer en lui-même, personne ne se souviendra, en regardant les photos le montrant avec sa médaille, qu'il n'a eu aucune part dans cette grande victoire.  Et qu'il a été la risée chez les commentateurs et les amateurs de hockey d'ici -autres que les fefans qui, eux, sont furieux et très frustrés parce que leur chéri a pratiquement été écarté du tournoi olympique-.


Cela aurait été différent si Subban avait joué et qu'il y avait eu un concours de plongeons volontaires (diving).  Subban l'aurait remporté haut la main et cela aurait été bien mérité.  Il aurait sans doute établi un record olympique.  Cela aurait été la même chose s'il y avait eu à Sotchi une compétition de hockeyeurs contorsionnistes qui jouent la comédie et grimacent en faisant semblant d'être accrochés pour faire mordre les arbitres et faire prendre des punitions à des adversaires non coupables.  Fier de ses coups et de ses feintes, P.K. aurait ensuite affiché son beau sourire porcin.  De même, s'il y avait eu une course à la médaille d'or du hockeyeur le moins courageux, il aurait monté sur la première marche du podium.  On sait que P.K. est un champion matamore, un brave à trois poils, qui aime provoquer ses opposants mais qui s'enfuit comme un lièvre devant un chasseur quand ceux-ci veulent lui faire rendre des comptes.  Dans ce temps-là, Subban se cache derrière les arbitres et devient un spécialiste imbattable des reculades et des dérobades.  Quel lâche et quel tête à claques !  Au lieu d'une médaille olympique en or, il aurait bien plus mérité un grand coup de pied au cul...